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As clock ticks toward another Trump presidency, federal death row prisoners appeal for clemency

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President-elect Donald Trump’s return to office is putting a spotlight on the U.S. penitentiary in Terre Haute, which houses federal death row. In Bloomington, a small community of death row spiritual advisors is struggling to support the prisoners to whom they minister.  Ross Martinie Eiler is a Mennonite, Episcopal lay minister and member of the Catholic Worker movement, which assists the homeless. And for the past three years, he’s served as a spiritual advisor for a man on federal death row.

France | Après la découverte de traces ADN, vers une révision du procès Omar Raddad ?

Omar Raddad
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Condamné en 1994 puis partiellement gracié en 1998 par Jacques Chirac Omar Raddad, qui a toujours crié son innocence, dit maintenant pouvoir la prouver.

Les avocats d'Omar Raddad, condamné en 1994 pour le meurtre de Ghislaine Marchal en 1991 à Mougins, à 18 ans de réclusion, sans possibilité de faire appel à l'époque, vont déposer ce jeudi une nouvelle requête en révision, rapporte BFMTV.

Sur la base de nouvelles analyses des traces d'ADN découvertes en 2015, les défenseurs du jardinier marocain qui a passé au total plus de sept ans en prison, veulent prouver définitivement l'innocence de leur client.

En novembre 2015, quatre empreintes génétiques correspondant à quatre hommes non identifiés, deux empreintes parfaitement exploitables et deux autres partiellement, avaient été trouvées sur deux portes et un chevron qui se trouvaient sur la scène du crime. 

Sur ces deux portes avait été écrit "Omar m'a tuer" (sic) et "Omar m'a t", avec le sang de la victime.

Ghislaine Marchal, la riche veuve d'un équipementier automobile, avait 65 ans quand elle a été retrouvée baignant dans son sang dans la cave de sa propriété le 23 juin 1991.

La demande de révision s'appuie sur les analyses ultérieures d'un expert, rendues en 2019 et dévoilées lundi par Le Monde

Ce rapport conclut à la présence d'une trentaine de traces d'un ADN complet masculin n'appartenant pas au jardinier et trouvées dans l'une des inscriptions faites avec le sang de la victime qui désignaient Omar Raddad comme le meurtrier.

Omar Raddad avait bénéficié d'une grâce partielle du président Jacques Chirac et d'une libération conditionnelle en 1998 mais cette grâce ne vaut pas annulation de la condamnation et ne l'innocente pas.

Source: lindependant.fr, Staff, June 22, 2021


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